Replay : La peur de l’ancien
Une question récurrente des débuts de saison posée par les futurs néo-pratiquants : Je voudrais m’inscrire au cours débutants ou y-a-t il des cours débutants ?
Une question récurrente des débuts de saison posée par les futurs néo-pratiquants : Je voudrais m’inscrire au cours débutants ou y-a-t il des cours débutants ?
Voici une petite vidéo tournée lors de l’atelier donné par Stéphane Vien dans le cadre du stage d’été avec Léo Tamaki à Bruxelles.
Comme chaque année en cours de saison, certains pratiquants nous quittent pour de multiples raisons, parfois parce que l’étude de l’Aïkido est assez lointaine de ce qu’ils pensaient ou par démotivation, il y en a une myriade en fait.
Je pense qu’en tant qu’enseignant d’Aikido, il arrive à un moment où une sorte de bilan s’installe. Qu’ai-je fait durant ces années? Ai-je oeuvré pour le bien de l’art? Ai-je été à la hauteur dans différents domaines?
Voici une petite carte interactive reprenant les Dojos affiliés Kishinkai en Europe.
Il y a quelques mois, lors de l’annonce du stage d’été de Bruxelles, Stéphane Vien m’a contacté pour me proposer gentiment d’animer un atelier Shiatsu à destination des participants du stage et des personnes extérieures intéressées et ce à titre gratuit, en toute amitié, ce
Lorsqu’il y a quelques mois, Léo Tamaki m’a gentiment proposé d’organiser son stage d’été à Bruxelles et de surcroît au Centre Pérou, j’avoue avoir été un peu dubitatif. Y aurait-il assez de place? Des gens intéressés par un long stage? Quelle logistique mettre en place?
Que serait la vie sans les rencontres? Elles nourrissent quelque part notre moi profond et nous permettent également d’être des clés dans la progression de notre art et dans l’avancée de notre vie.
Certains et certaines, à la lecture des posts parlant du Shiatsu, m’ont demandé ce que je trouvais dans cet art et ce que celà pouvait m’amener dans l’Aïkido. Difficile de répondre, simplement c’était quelque chose que j’attendais depuis longtemps… Une petite analyse de la relation
Si il est facile de monter un premier évènement (bien que ce soit relatif), avoir la gageure d’en refaire un l’année suivante est plus compliqué. D’abord, l’effet de surprise est passé et les gens savent plus ou moins à quoi s’attendre, du moins les « revenants ».